Accéder au contenu

Gestion des contrastes :

Océana PITOKO

Informations

  • Diplôme

    Ingénieur ENSGSI - 3AI
  • Poste actuel

    Elève ingénieure en apprentissage à la RATP

Enquête sur une étudiante en alternance.

🕵️Océana PITOKO. 22 ans. Étudiante en 3AI à l’ENSGSI et alternante à la RATP. Mais qui est-elle vraiment ? Pourquoi a-t-elle choisi l’alternance ? Nous avons analysé son parcours, interrogé ses choix… Et voici ce que nous avons découvert  ! 👇

🧐Un parcours scolaire sans faux pas

Tout commence en 2020. Océana décroche un BAC S mention Très Bien. Un premier indice révélateur : nous avons affaire à une élève douée. Elle enchaîne avec une classe prépa PCSI puis PC au Lycée Buffon à Paris. Son objectif ? Encore inconnu. Son orientation ? Encore floue.
Mais c’est là que l’ENSGSI apparait. Une école généraliste qui correspond parfaitement à son état d’esprit. Océana refuse de se fermer des portes. Elle veut tout voir, tout comprendre, avant de choisir sa voie. Elle intègre donc l’ENSGSI en 1e année ingénieur.

🗣️L’anglais  : son joker

Parmi toutes les matières qu’elle étudie, une se démarque : l’anglais.

Depuis toujours, c’est la matière où j’ai le plus de facilité. Contrairement aux matières scientifiques où je dois rester concentrée à 100 %, en anglais, je peux être plus détendue.

Océana PITOKO

Il s’agit peut-être d’un indice pour la suite de son parcours… ?

🤔L’envie d’agir

On aurait pu s’attendre à ce qu’elle poursuive ses études de manière classique. Mais non.
« J’en avais marre des cours et de rester assise sur une chaise. En entreprise, c’est parfois pareil, mais au moins, je me sens plus libre. »

L’alternance devient une évidence. Elle veut vivre le quotidien d’un ingénieur, se confronter à la réalité du terrain et acquérir de nouvelles compétences.

🤫Une recherche d’alternance qui vire au parcours du combattant

Mais décrocher un contrat d’alternance, ce n’est pas si simple. Pendant sa recherche, Océana s’est imposé un rythme strict de février à avril : 10 candidatures par jour. Résultat ? Des semaines de silence, des réponses automatiques, une patience mise à l’épreuve… Puis enfin, une deuxième phase, d’avril à juillet, plus intense : elle a dû enchaîner les entretiens.


Océana avait des critères de recherche précis :
– Un poste à Paris, pour se rapprocher de sa famille
– Un poste lié à la chefferie de projet
– Une grande entreprise, plutôt qu’une PME
Et elle y arrive. Mais alors… Où ? Et bien à la Régie Autonome des Transports Parisiens (RATP)  !

😶‍🌫️Une apprentie investie

Nous avons infiltré son quotidien en entreprise. Sa journée type ?
– Vérifier l’agenda du jour.
– Assister à deux réunions.
– Traiter les missions confiées par son tuteur (renseigner un risque, contacter des prestataires, préparer une présentation sur un projet en cours…)
– Si elle a du temps, elle analyse les risques existants et propose des actions correctives.

Grâce à ses cours à l’ENSGSI, Océana a pu réalisé un questionnaire sur la gestion des risques, une initiative qui a été très bien reçue par l’équipe.

😯Un équilibre maîtrisé entre école et entreprise

Entre cours et entreprise, le rythme est intense. Mais alors, comment fait-elle ?

En cours, je me concentre à 100% sur les enseignements. En période d’entreprise, j’utilise mes week-ends et parfois mes congés pour réviser. Mon trajet maison-travail est trop long pour que je puisse bosser en semaine.

Océana PITOKO

Son secret : l’organisation.

👣Et après ?

Grâce à son alternance, Océana a développé de nouvelles compétences :
– Une communication plus efficace
– Une meilleure organisation de ses projets
– Une meilleure capacité à s’adapter et à prendre des décisions.

Mais où veut-elle aller ensuite ? Nous lui avons posé la question et elle nous a répondu  : « Peut-être travailler dans un pays anglophone… »

💡Oh  ! Un conseil pour les étudiants  !

Alors que nous pensions avoir bouclé notre enquête, un dernier élément attire notre attention. Un conseil destiné aux étudiants qui hésitent encore  !

Je recommande l’alternance à 100 %. C’est le parfait compromis entre le travail et l’école. On acquiert de l’expérience, on se prépare pour la mission de fin d’études et on peut même commencer à construire ses économies. Certes, il faut être organisé, mais ça vaut largement le coup.

Océana PITOKO

Le dossier est maintenant clos et l’enquête peut prendre fin  !😯

CONTACT

Contactez-la via

oceana.pitoko3@etu.univ-lorraine.fr

Galerie photos

liaison de page